
« … une énorme erreur, c’est d’avoir déplacé les langues de la classe 400 à la classe 800. Et qu’a-t-on mis à leur place ? Qu’a-t-on mis ? Rien. Ce qui fait que la classe 400, en ce moment, est inoccupée, vide. Vous êtes d’accord, c’est une ineptie. Moi, cela me donne le vertige, cette cote vacante. »
Ce roman est un long monologue d’une bibliothécaire plus toute jeune à un homme qu’elle retrouve dans le sous-sol de sa librairie, où il a passé la nuit, s’étant fait enfermer par mégarde. Elle aime son métier et va lui en parler...
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